Miss Provence quali­fiée pour Miss France malgré son tatouage : le comité s’ex­plique

 


 
Alors que Jade Volti­geur, Miss Marti­nique 2017, a été privée de concours Miss France en raison d’un tatouage, les inter­nautes se demandent pourquoi Kleo­fina Pnishi, Miss Provence 2017, elle aussi tatouée, a le droit de concou­rir. Son comité local a défendu la légi­ti­mité de sa candi­da­ture.



C’est une ques­tion que se posent de nombreux inter­nautes depuis quelques jours : comment se fait-il que Miss Marti­nique et Miss Provence 2017, toutes les deux tatouées, ne soient pas sur un pied d’éga­lité?? Si elle garde son titre, la première, Jade Volti­geur, ne pourra pas repré­sen­ter son île en décembre prochain à l’élec­tion de Miss France 2018. C’est donc, comme l’a décidé le comité local, sa première dauphine qui pren­dra sa place lors de la céré­mo­nie à Château­roux. Kleo­fina Pnishi a quant à elle eu l’au­to­ri­sa­tion de repré­sen­ter la Provence, malgré son tatouage au poignet. Face à cette éton­nante situa­tion, le comité a dû s’ex­pliquer sur ce choix de présen­ter la jeune femme au concours natio­nal.

C’est Lydia Podos­se­noff, la délé­guée régio­nale du comité Miss Provence – Miss Côte d’Azur, qui s’est expri­mée sur Face­book pour prendre la défense de Kleo­fina Pnishi. Selon elle, le tatouage de la jeune femme « n'est pas dans les codes de l'esthé­tique mais pure­ment symbo­lique » : il s’agit du « prénom de sa sœur et la date de son décès survenu l'année dernière ». Parce qu’il « repré­sente un lien fort et insé­pa­rable », la délé­guée régio­nale a choisi de main­te­nir la candi­da­ture de la jeune femme pour Miss France 2018 : « Il repré­sente sa force, celle d'avan­cer le plus loin possible pour sa famille. Je justi­fie ma déci­sion : de part sa taille, sa discré­tion mais surtout et avant tout sa signi­fi­ca­tion. »

Des expli­ca­tions qui ne satis­fe­ront peut-être pas tota­le­ment ceux qui s’in­ter­rogent sur la diffé­rence de trai­te­ment entre les deux miss. D’au­tant plus que Jade Volti­geur a confié à France-Antilles que le coli­bri gravé sur son omoplate a lui aussi un sens : « Mon tatouage je l'ai fait quand j'étais plus jeune, il a une signi­fi­ca­tion parti­cu­lière, a-t-elle expliqué. Il veut dire paix, sagesse et famille. Je l'ai fait en Nouvelle-Calé­do­nie, lors d'un voyage en famille. Mon père est né là-bas. » Le fait qu’il évoque un passé moins tragique et qu’il soit légè­re­ment plus impo­sant que celui de Kleo­fina Pnishi a sans doute pesé dans la balance. Pour rappel, le règle­ment de Miss France laisse beau­coup de place à la subjec­ti­vité : seuls les tatouages « voyants » sont inter­dits. Et ce sont aux comi­tés régio­naux de déci­der au cas par cas de ce qui est, selon eux, trop « voyant » ou non…

 
Tom Cruise est « diabo­lique », selon l’ex-membre de la Scien­to­lo­gie Leah Remini






 L’ac­trice Leah Remini, ex-membre de la Scien­to­lo­gie, n’est pas une fan de Tom Cruise, mais alors PAS DU TOUT. 

Leah Remini, 47 ans, est une actrice et produc­trice améri­caine, connue pour avoir dénoncé les agis­se­ments de l’Eglise de Scien­to­lo­gie. Elle n’avait que 9 ans lorsque sa mère a rejoint la secte, et y a passé de nombreuses années. Ce n’est qu’en 2013 qu’elle a fini par quit­ter le mouve­ment, empor­tant avec elle toute sa famille. Depuis, elle a sorti un livre (Trou­ble­ma­ker : survi­ving Holly­wood and Scien­to­logy) dans lequel elle a raconté son expé­rience, et produit une série docu­men­taire (Leah Remini : Scien­to­logy and the after­math) dans laquelle elle a fait témoi­gner d’an­ciens membres de la secte et décrypté leurs dires.


 
 



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