Jona­than Rhys Meyers part en cure de désin­toxi­ca­tion après la fausse couche de sa femme

 





 Jona­than Rhys Meyers n'a pas supporté la fausse couche de sa femme et a replongé dans l'alcool, après une longue période de sobriété. 

Pour le comé­dien irlan­dais Jona­than Rhys Meyers, l’ad­dic­tion à l’al­cool est un combat de tous les instants. Et, depuis peu, il semble avoir baissé sa garde… Ce week-end, l’ac­teur des Tudors et de Vikings a été aperçu complè­te­ment ivre à l’aé­ro­port de Dublin. Un état d’ébriété remarqué par les agents présents dans le termi­nal, qui l’ont alors pris en charge. La scène a été rappor­tée par le Daily Mirror et fait beau­coup réagir sur les réseaux sociaux.

Une situa­tion que Mara Lane, son épouse, a tenu à justi­fier sur Insta­gram quelques heures plus tard. En couple avec l’ac­teur depuis 2014, qu’elle a épousé en secret en 2016, elle l'a défendu dans un long message à cœur ouvert. Elle y explique les raisons de la rechute de son conjoint qui semblait pour­tant aller mieux depuis la nais­sance de Wolf, leur fils, en décembre dernier.

« C’est avec beau­coup de tris­tesse que J et moi ouvrons nos cœurs aujourd’­hui pour vous faire part de la perte de notre second enfant, qui était en route. Il était très attendu (spécia­le­ment par J, qui n’a pas très bien vécu la nouvelle) et nous essayons encore de nous remettre de ce mauvais tour que la vie vient de nous jouer, a–t-elle révélé, très émue, en intro­duc­tion de sa tribune. La dépres­sion est un vrai problème, à l’ins­tar de l’al­coo­lisme, avec lequel il est né. Il a été capable de trans­for­mer les coups bas et la douleur de sa vie en art et il est la personne la plus forte que je connaisse. […] Mais parfois, il fait deux pas en avant puis un pas en arrière », a-t-elle ensuite confié à propos de Jona­than Rhys Meyers et de son mal-être.

Une rechute que Mara Lane a déjà prise en main, assu­rant que son mari serait très vite enca­dré comme il se doit. Une façon pour elle de l’ai­der à se soigner et à se remettre de son chagrin. «  Il va bien et il est avec sa compagne qui est sobre et qui lui sert aussi de garde-fou, qui va l’ac­com­pa­gner dans un centre de désin­toxi­ca­tion près de la maison, puisqu’en Irlande, on lui a refusé deux fois l’ad­mis­sion à l’hô­pi­tal parce qu’il y a une période d’at­tente de deux mois », a-t-elle annoncé sur son compte Insta­gram avant de conclure avec recul : « C’est la vie.  »


 
 



Créer un site
Créer un site