Une rehab?? Pour quoi faire??
 
Harvey Wein­stein : en cure de désin­tox pour son addic­tion au sexe, il a un compor­te­ment très déplacé





 Le monde entier connaît le nom d’Har­vey Wein­stein non plus pour sa carrière mais pour le nombre incroyable de femmes qu’il a harce­lées ou agres­sées sexuel­le­ment. Actuel­le­ment en rehab pour soigner ses déviances, il fait ouver­te­ment n’im­porte quoi. 
 

Aux Etats-Unis, quand on vous chope la main dans le sac, le nez dans la coke ou les yeux dans le décol­leté d’une femme qui n’est pas la vôtre (et ne vous avait rien demandé), il y a une seule chose à faire : aller en rehab. Confondu par les nombreux témoi­gnages des femmes qu’il a agres­sées durant plus de trente ans, Harvey Wein­stein a fait comme tout le monde à Holly­wood, il est allé en Arizona s’en­fer­mer dans un centre qui devra le désin­toxiquer de son addic­tion au sexe. Une démarche volon­taire mais visi­ble­ment très hypo­crite selon le New York Post. 

Loin de recon­naître les faits qui lui sont repro­chés,
Harvey Wein­stein dit à qui veut l’en­tendre que toutes les femmes qu’il a appro­chées étaient consen­tantes et que les accu­sa­tion portées contre lui sont fausses. Selon une source qui s’est confiée au jour­nal améri­cain, le produc­teur déchu devrait norma­le­ment dormir au centre et y être présent 24 heures sur 24. Un programme qui n’a pas plu à Wein­stein qui a préféré s’ins­tal­ler à l’hô­tel. Un coup de canif dans le règle­ment de ces établis­se­ments qui visent à couper les patients du reste du monde pour qu’ils fassent un travail sur eux-mêmes. Pas convaincu, Harvey Wein­stein dort donc à l’ex­té­rieur et a aussi décidé qu’il garde­rait avec lui son télé­phone portable, ce qui est évidem­ment tota­le­ment inter­dit …

Quand il ne hurle pas dans son télé­phone, l’an­cien ponte d’Hol­ly­wood assiste à des réunions de groupe, mais là aussi, il ne brille pas par son assi­duité : « Lors d’une session de théra­pie de groupe, Harvey est arrivé avec 15 minutes de retard. Puis, alors que c’était à son tour de parler, il s’est lancé dans un discours comme quoi comme tout ça n’était rien d’autre qu’une conspi­ra­tion contre lui  ».

Selon ce même infor­ma­teur, mardi dernier, alors qu’il était censé écou­ter les témoi­gnages des autres patients, il n’était pas fran­che­ment concerné : « Harvey s’est endormi sur sa chaise. Il s’est réveillé unique­ment quand son télé­phone intro­duit en contre­bande s’est mis à sonner… Harvey s’est réveillé d’un seul coup, a sauté sur ses pieds, a immé­dia­te­ment répondu et s’est préci­pité hors de la salle ».

Depuis cet épisode, et pour « des raisons évidentes », l’ex-produc­teur a troqué les séances de groupe pour une théra­pie indi­vi­duelle. Des sessions durant lesquelles, s’il consent à recon­naître qu’il s’est « comporté comme un trou du c**  », il main­tient qu’il « n’a jamais violé personne ». Mais ça, ce sera peut-être à la justice de le dire.

 

 

 
 



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